Elisabeth Bathory, la BD porno gore de Raulo Cacéres, vous plonge dans le monde démoniaque d’une baronne légendaire pour sa vie au delà de la morale. Avide de sexe, de sperme, vampire, elle poursuit le cercueil maudit. Notre-Dame des Tombeaux ne connaîtra que l’orgie, le sang ou le sexe.
Recueil de 184 pages en 21 épisodes, cet album est un savant mélange de sexe extrême, de fantastique et de folklore. Toute l’œuvre de Cacérès se caractérise par un mélange de styles poussant vers l’extrême : un dessin très sombre souligné par le clair-obscur et le baroque, des histoires très érotiques voire pornographiques, des scénarios fantastiques ésotériques ou libertins. Bref, tout dans l’œuvre de Cacérès respire l’extrême.
Résumé: Elisabeth Bathory initie une jeune Hongroise à un plaisir particulier : dévorer de la cervelle fraîche. La rapidité d’excecution est importante pour en conserver la fraicheur. Elles sont interrompues dans leur festin par l’arrivée de Akew, un vampire adze d’Afrique, puissant et viril. Elisabeth ne peut pas résister à l’envie de profiter des atours d’Akew et elle plonge sa main pour en sortir un immense sexe. Elisabeth se charge de le sucer de toutes ses forces. Tant et si bien que le adze jouit en quelques minutes. Fou, il s’arrache la peau, ce qui lui redonne de la vigueur pour pénétrer violemment la comtesse.
C’est une pratique courante de ce type de vampires. Elizabeth l’imite en enlevant également toute sa peau. Les écorchés se déchaînèrent et Akew finit par jouir à torrents. Elisabeth se délecte de son sperme et elle en fait profiter la jeune Marie car la semence d’un mort a un goût unique.
Pour les amateur de BD mêlant le sexe et le sang, Elisabeth Bathory me semble être une excellente BD. Personnellement, je ne suis pas adepte de ce mélange.
Je vous invite néanmoins à la découvrir sur le site de Tabou Editions qui m’a permise de découvrir cette Bande dessinée d’un autre genre et d’en faire librement la chronique.