Quand l’alchimie est là.

Ce soir nous avons donné rdv à C et N un couple rencontré sur un site Libertin. Nous avons énormément discuté et le courant est visiblement passé. Au dernier moment, nous nous sommes donnez rendez vous dans un restaurant à quelques kilomètres de chez nous.

J’avais un peu peur, pas trop confiante. La dame est bisexuelle, je savais que si nous ne nous plaisions pas la sortie serait tombée à l’eau. Ses photos m’avaient séduites, nos longues conversations par tchat aussi, mais le visuel reste le point principal et là, c’était le doute total.

Nous nous sommes donc préparés: robe noire prés du corps, bas à liseret et porte jarretelles pour moi; mon mari a revêtu un pantalon foncé, une chemise assez graphique. Nous nous plaisions. J’avais conscience que mes bas étaient visibles sous ma robe. Ils étaient portés assez bas sur la cuisse. En plus de cette tenue, nous avions convenu de porter chacune nos boules de geisha. Je m’en étais souvenue. En les mettant, j’imaginais que mon mari était là, j’imaginais qu’il les mettait lui même et que je recevais un merveilleux baiser. L’effet escompté était là, je mouillais pour mon plus grand plaisir, et je réussissais à placer les boules du premier coup.

Il est l’heure, nous nous sommes dirigés dans la voiture en nous rassurant sur notre amour. C’est très difficile d’accepter de voir son mari dans les bras d’une autre. Nous avons passé ce cap, nous évoluons dans notre libertinage. Nous prenons plaisir à voir le plaisir de l’autre et pourtant, nous nous aimons comme des enragés.

Arrivés devant le restaurant, la nervosité monte d’un cran. J’ai repéré un homme sur le trottoir, il ressemble à notre complice. Madame est restée dans la voiture. Nous approchons souriants, les présentations sont rapidement faites. La gêne est présente : plus tard nous coquinerons à quatre dans une chambre d’hôtel. J’ai un doute sur l’attirance de la dame. Nous nous installons à nôtre table. Elle ne me regarde pas, alors pendant le repas, je m’adresse plutôt à son compagnon et j’essaie de la faire intervenir. Je pense qu’elle est aussi intimidée que moi. Au bout d’une heure de discussion, j’arrive à capter son regard. Je suis toujours dans l’incertitude. Moi par contre, je sais qu’elle me plait. Elle aussi à mis une jolie robe noire, son décolleté est plongeant. Elle est vraiment belle. Nous finirons le repas dans l’incertitude la plus totale. J’en fais par à mon mari en allant à l’hôtel.

Nous arrivons dans la chambre, je demande à mon mari de mettre un peu de musique. L’ambiance est un peu fraîche. Il nous met une musique douce, nous baissons les lumières. Pour le moment, je suis incapable de toucher mes complices. Eux se sont allongés lascivement sur le lit. Ils s’embrassent. Je sens la main de mon mari courir sur mes jambes, ses baisers déposés sur mes épaules. Nous essayons de nous détendre. La magie opère, tout doucement, nous nous rapprochons. Nos lèvres se rencontrent et quelle douceur. ma complice est très tendre. Je la caresse en même temps que son mari. Elle s’allonge confortablement et reçoit ces caresses avec béatitude. Mon mari continue à me stimuler, nous nous embrassons à notre tour. Je descends ma main le long de son ventre, je dégraffe son body et je trouve la petite corde des boules de geisha. Je la tourne très doucement, elle gémit. Après que N se soit entièrement déshabillée, je lui lèche les seins, les tètent avec douceur et fermeté. Alors que nous nous embrassons, je descends à nouveau ma main vers son intimité et je commence à jouer avec son clitoris. Elle adore, elle se cambre, elle feule. Je me déplace rapidement et je me retrouve la tête entre ses cuisses. J’écarte ses lèvres pour trouver son petit bouton et je le mets à le lécher avec délectation, elle respire de plus en plus vite. Je m’arrête et une nouvelle fois, je joue avec le cordon de ses boules. Son mari me dit qu’elle adore. Je décide de les lui retirer avec langueur. D’abord je refais tourner le cordon, elle pousse un cri de bonheur, puis je tire doucement, la première boule sort, elle se cambre, à la seconde, elle sourit et réclame un baiser très profond à son compagnon. Le jeu commence vraiment. Je reprend le cunilingus, mon mari lui tête les seins et vite son corps se crispe: elle jouit à grands cris. J’adore faire jouir les femmes.

Mon tour viendra à grand renfort de caresses, mes boules seront sorties avec autant de douceur. Et j’aurai le droit à plusieurs orgasmes très très forts. Je dois dire que ma complice est vraiment douée. le meilleur de tous sera en 69. Je me retrouve au dessus de sa tête. Elle me tient les jambes. Elle me lèche avec fermeté. Puis je sens un doigt le pénétrer. Je me cambre. Je cesse de lui rendre ses coups de langues pour embrasser sa cuisse. A ce moment, je perds tout contrôle tellement le plaisir est intense. Elle attend que mon plaisir remonte et reprend ses caresses. Le doigt qui me pénètre est doux et délicieux. En quelques minutes, j’atteinds un orgasme déchirant ! Un de plus dans la soirée. Nous orgasmons pendant 4 heures.

Mon mari va me prendre en levrette pendant que je m’occuperai de ma complice. Pendant qu’elle avalera entièrement le sexe de son mari. Les bruitages de sucions, les gémissements seront notre musique pendant toute la soirée. C’est très excitant, très troublant: le vice dans le vice. Nous sommes en osmose. Le temps passe à une vitesse folle. Personne n’est vraiment fatigué. Le plaisir est réellement intense.

J’adore les cunis, elle en recevera de moi et de mon mari pendant toute la soirée. Son clitoris est très bien caché, mais très sensible. A chaque onde de plaisir elle recherchera ma bouche pour me le faire partager. Et quel partage !

Nous ferons l’amour, N et moi, plusieurs fois. Puis, nos hommes reprendrons leur place et nous leur offriront nos sexes pour leur plus grand plaisir. D’abord en levrette, puis sur le dos et enfin moi assise sur C. La pénétration est toujours un moment un peu spéciale quand ce n’est pas ton mari. Je suis toujours un peu stressée, angoissée. mais quand le plaisir arrive, j’oublie tout. La jouissance accordée de deux êtres est assez rare et pourtant nous réussirons à jouir ensemble d’un seul souffle.

Quelle nuit. Je crois qu’elle restera la meilleure dans tout notre libertinage. C’est assez rare de trouver une telle osmose avec une femme. Déstabilisant et vraiment bon.

1 commentaire sur “Quand l’alchimie est là.”

  1. soirée, bien écrite, bien décrite sans aucune vulgarité. Un film se déroulait devant mes yeux à vous lire.
    Je vous souhaite encore bien des soirées comme celle ci avec la même complicité
    juju051

    reponse:
    Merci Juju051, je crois que c’est une soirée juste extra-ordinaire. J’espère en revivre d’autres du même ordre.
    A bientot
    Flo

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