-“Tu pues le sexe !” me dit-il en se glissant entre mes cuisses.
Je transpire le sexe, le sexe coule dans les veines, tout mon corps exhale ce désir de baise. J’imagine des mains me déshabiller, me mettre à nue petit à petit, m’effeuiller, m’effleurer, me caresser lentement puis de façon plus appuyée, plus brutale.
Je sens les liens me serrer douloureusement.
Je pue le sexe et j’en suis totalement avide. La promiscuité me rend salope, chatte et chienne.
Je suis animale, il le sait, je lui ai dit à lui aussi, je vous le dis à vous, je vous le murmure à l’oreille, comme vous pourriez me murmurer vos propos orduriers aux miennes. Ces petits mots qui me font décoller aussi vite qu’intensément.
Mes fantasmes me poursuivent la nuit. Au matin, je me réveille brûlante, mouillée, chaude, là, entre mes cuisses de femelle. Je ferme les yeux et me plonge à nouveau dans le sommeil en quête de ces sensations carnassières qui me dévorent petit à petit.
Je pue le sexe.
Ces mains me pénètrent de bout en bout, pas une parcelle de mon corps n’est oubliée. Pas de répit. Mes seins sont pétris, sucés, meurtris; ma nuque est mordue, mon dos griffée, mes cuisses érafflées, mon sexe puis mon cul pris.
Je ne m’appartiens plus, je ne veux plus m’appartenir…
Je pue le sexe. Et vous ?
Superbe, j’adore qu’une belle salope comme toi s’exprime avec une telle franchise…
C’est assez amusant et presque impoli cette façon de me tutoyer alors que nous ne nous connaissons pas.
Le commentaire reste sympathique.
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Merci beaucoup, je vais visiter le vôtre 🙂